Sous sa gorge vibraient deux seins naissants,
Aux pointes aiguisées d’une infinie saveur,En me donnant des cris de petit chat perçants,
Elle ôta l’habit ceint, me faisant cette faveur,
Sous sa gorge vibraient deux seins naissants,
Aux pointes aiguisées d’une infinie saveur,
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Devant le porche de la maison, une dame silencieuse m'accueille et me conduit au grand salon éclairé de candélabres. Six
hommes sont installés en buvant du champagne.A mon entrée, ils se lèvent , me saluent discrétement de la tête. Ils sont d'une grande élégance, jeunes sans doute, mais je n'en suis pas certaine
dans la mesure où ils portent tous un masque de velours noir sur le visage.
Ils m'emmènent dans le salon, où six fauteuils sont disposés en demi-cercle autour de la cheminée. Je me retrouve placée au centre. Sur de la musique douce, les flammes des bougies reflétent sur
ma peau des nuances mordorées, dans leurs yeux des lueurs diaboliques.
Un homme fait glisser ma robe le long de mon corps. Là, à demi nue devant eux, je me sens belle, je cambre les reins et gonfle les seins. Des mains me caressent de plus en plus
profondément. A tour de rôle, ils viennent me toucher, me goûter, se frotter à moi.
Au comble de mon excitation, l'un d'eux me dirigent vers un fauteuil sur lequel un homme est assis, vêtu d''un smoking, toujours masqué, son sexe tendu à la main. L'un se fait mon guide et
m'accroupit. Je prends cet inconnu à pleine bouche aux yeux de tous. Je lèche longuement cet engin, à mesure que je le tète et l'avale, je sens de plus en plus le corps de l'homme se cambrer sous
ma langue. Tandis que ma bouche tient cette queue, un autre se ramène derrière moi. Celui-ci m'écarte les cuisses et s'enfonce vigoureusement dans ma chatte brûlante.
Autour de nous, les quatre hommes se contentent de regarder.. D'un sourire reconnaissant, l'homme assis passe le tour à l'un de ses compagnons, alors que celui qui me baisse m'assoit sur le
sexe tendu d'un quatrième homme tout aussi élégant. Ce deuxième duo de cavaliers me mène sur le chemin de l'extase.
J'aimerais pouvoir les prendre tous en même temps...
Un homme arrête ce trio frénétique et me dirige vers les deux derniers de ces compagnons. L'un deux est certainement le plus bel étalon que j'ai jamais vu.
Il m'allonge sur le billard, me reléve les cuisses et m'enfonce son mandrin d''un coup de reins puissant. Le dernier homme s'approche et mate le spectacle. Sa queue se trouve à quelques
centimètres de mes yeux et de ma bouche. Il se masturbe tranquillement alors que mon bel étalon me pilonne et me tire des hurlements de jouissance,et son compagnon m'inonde
les seins de son sperme chaud.
Ce dernier se penche vers moi me chuchotant : << inoubliable non ? >>.
A travers sa mèche de cheveux couleur jais
il a le regard presque enfantin mais dont il joue pour séduire, pour susciter le désir, désir d être convié à l autel de sa jouissance.
Sa bouche charnue, gourmande, humide aux parfums des embruns sauvages dessine un léger sourire narquois qui lui donne un coté mauvais garçon.
J aimerais lui effacer ce léger sourire en écrasant ses lèvres sur les miennes dans un baiser fougueux, ou dans un effleurement de la langue sur le fin liseré qui lui ourle cette bouche
convoitée
Et son corps ? Liane sauvage ondulant pour le plaisir des yeux, cette peau couleur de chocolat crémeux , sculpté.
Il fait bandé chaque muscle dans l harmonie de cette danse langoureuse qui invite à se laisser aller dans la tourmente du plaisir.
Plaisir qu 'il se donne quand ses mains caressent son corps,
quand ses mains sont, le guide de mon regard qui s' accroche à son ventre , à son sexe dressé presque luisant déjà.
Il se tourne, offre à mes yeux sa chute de reins, ses fesses légèrement rebondies que j aime toucher, caresser et embrasser.
Il sait que dans mon silence, mon imagination est devenue fébrile, fiévreuse.
Encore quelques pas rythmés de provocation, et il sait que je suis en harmonie de lui.
Il s' installe profondément dans son fauteuil, entièrement nu, son regard de plus en plus provocateur ,
étirant son corps langoureusement, ses mains, ses doigts courent sur cette peau dorée, de son torse à son ventre,
il passe sous ses testicules, les prends en main, fermant les yeux un instant, pour les ouvrir aussitôt ,
son sourire d aise aux coins de ces lèvres.
Il abandonne ses bourses gonflées de plaisir pour enrober son sexe de ces deux mains,
le cachant à ma vue, il attend de moi un hochement de tête pour qu 'il commence a retirer une main tout en gardant
l'autre bien serrée autour de la base de cette tige dure, perlant déjà d excitation.
J aimerais être cette main, ces doigts autour de ce phallus qui me fascine, le prendre en main,
et pourquoi pas en bouche, à genoux entre ses cuisses.
Lui faire subir mon excitation, mais non, je ne peux que le regarder se donner ce plaisir solitaire.
Alors un instant, je ferme les yeux pour les ouvrir aussitôt , il a compris dans le vague de mes yeux que je suis prête de l accompagner dans sa jouissance
Il se caresse, prend son gland dans ses doigts, tout en s accrochant a mon regard,
il caresse encore et encore jusqu'à à ce que son corps se contracte,
sa main s'accélérant pour libérer cette semence brulant ses doigts,
il rejette la tête en arrière, ferme les yeux et se laisse aller a son plaisir solitaire …..
Il ouvre les yeux et me sourit , il est heureux ….........
Nous nous aimons, donc nous
nous caressons.
Son priape et ma Vénus s'éveillent.
Il me vient la première le désir de sentir ce membre aimé s'échauffer dans ma bouche. Je me penche donc et, l'ayant dégagé des plis de son vêtement , je commence à le mignoter de mes
lèvres.
Le fruit est-il savoureux ? Non, ne me dis rien ! Savoure, savoure... Et je me tais aussi... On ne parle pas...
C'est une bonne caresse, n'est-ce pas ? La meilleure façon, à mon goût, de jouer aux dominos renversés !
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