Il s'était levé et, se tenant derrière nous,
caressait en même temps le cul d'Anella et le mien.
Elle s'exitait peu à peu, se pendait à mon cou, et se tordait en soupirant pour l'inciter à engager la main entre ses fesses ; ce qu'il fit, sans cesser de me peloter savamment, passant d'une
fesse à l'autre et de l'extérieur à l'intérieur pour effleurer mes seins.
Je me colais contre Anella, qui se pencha et m'embrassa avec fureur.
_oui, petite fleur, soupiret-elle, oui... Branle-moi du côté de Vénus come il me branle du côté de Junon ! Je vais guider ton doigt... Oui, ainsi... Doucement d'abord... Oh oui ! Et toi mon
syrien, ton doigt, je t'en supplie... Et mes seins... IL y en a un pour chacun.. Oui, doucement.
Elle gémissait :
Allez, mes deux... amants... Tous les deux ! ta main Oui ... Plus fort... Et toi homme, sens comme mon cul s'offre à... ton doigt... Un autre... pour préparer la voie... Oui ,
enfonce-les... Tous les deux... Toi aussi, petite, enfonce... Oui, oh oui ! Ah ! Je jouis ! Je jouis...
Cétait la première fois que je voyais une femme éprouver du plaisir.