Mardi 21 octobre 2 21 /10 /Oct 13:00
Ils avaient quitté les peignoirs de laine dans lesquels ils étaient remontés du bain. Je fis de même pour ma robe, mais je gardai ma tunique car nous étions au printemps et il faisait encore frais.


Je vois que tu as froid, petite, me dit-il. Plus pour longtemps ! Nous allons te réchauffer.
Et vous allez aussi m'instruire, hommes ! dis-je. Je ne sais si je dois en rougir ou m'en glorifier, je n'ai pas encore sucé d'homme. Tandis qu'un autre comblait mon cul ! Je demande donc votre indulgence...


Il me fit placer à quatre pattes sur le lit bas. De la sorte, ma bouche se trouvait juste à la hauteur du ventre de son compagnon.
C'est ainsi que nous commencerons, petite, dit-il en se plaçant derrière moi. Tu te tordras amoureusement pendant que je l'occuperais, cela augmentera ma jouissance et la tienne.
Je le ferais, mais je me consume dans l'attente de vos belles queues, mes hommes. Ne tardez plus trop.
Ils rirent tous deux.


Il commençait à bander, et promena de la main la tête de son engin comtre mes lèvres, comme pour m'obliger à la saisie de la bouche. J'y parvins sans peine, et je la fis entrer d'un coup de langue en prenant bien garde de ne pas la mordre. Puis je commençais à faire aller et venir ma tête.


C'est bien, petite, suce-t-elle comme il faut lui demanda-til ?
Admirablement, vois comme elle fait bander cet engin !


En le sentant me quitter, j'avais poussé un grognement de dépit, et je levai une main pour tenter  de le remettre dans ma bouche.
Et elle aime ça, il ne  faut pas lui en promettre. Veux-tu l'essayer, tu me céderas ce petit cul dont tu dis tant de bien, je te laisse le choix pour la jouissance.


Je grognai encore tandis qu'ils changeaient : Cessez donc vous-mêmes de promettre mes hommes ! Je vais décider pour vous, puisque vous en êtes incapables.Toi tu m'emplis la bouche, et toi le cul. Nous verrons aprés.


C'est ainsi que j'eus pour la première fois deux hommes en même temps...


Je me démenais comme une folle, remuant en même temps la tête et les fesses. Quand je me sentis prête à défaillir, je m'arrêtais un instant pour libérer ma bouche.


Ils jouirent tous deux, la décharge de l'un deux était énorme : elle m'emplit la bouche et le gossier dès le premier jet, le reste me coula en abondance le long du menton. Mais je ne laissais rien perdre du second jet ; tandis que son compagnon jouissait encore en moi avec force, en me donnant un violent plaisir. Je me tordais si bien en le sentant prêt à décharger, qu'il criait :
Oui, va, ma pouliche, bouge -le encore, ton joli cul ! ah ! commme elle me serre la queue ! Quelle bague elle a ! Oh! Oui ! Tiens, mignonne, tiens ! Il en veut le glouton ? Qu'il en ait ! Encore ce coup-là ! Et encore celui-ci !

J'étais épuisée...
Par candy - Publié dans : torride
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Commentaires

j'adore te lire.
j'aime lire un texte aussi érotique.
j'en suis tout excité et cela pour deux raisons.
tout d'abord la puissance des mots et des phrases, ensuite le fait de penser qu'en couchant ce texte dans ton jardin tu as aussi pris du plaisir.
certainement, comme moi, tu as du sentir cette chaleur monter dans ton bas ventre.
et puis ... une raison essentielle.. j'aime l'amour... mais cela tu l'as compris.
commentaire n° :1 posté par : la rafale le: 30/10/2008 à 22h56

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