Si tu savais comme j'ai envie de toi là... Maintenant... Tout de suite.
Etre allongé prés de toi, laisser courir mes doigts sur le grand livre de ta peau, doucement le découvrir,  en apprendre les lignes, les dessiner inlassablement, les faire défaire et refaire pour ensuite venir les goûter... Te goûter toi.
J'approche mes lèvres de ton corps... Tu en frémis déjà, avant même que je ne te touche... Mais ton parfum me frappe, m'enivre et m'envoûte littéralement. Ma bouche reste un instant à quelques centimètres de toi, les yeux fermés je te respire avec délice... Dieu que tu sens bon... Cette odeur que j'aime tant, puisqu'elle est de toi... Puisqu'elle est toi.


Et enfin je dépose mes lèvres sur toi... tu soupires, comme si ce contact était un souffle de vie, une bouffée d'air qui pourtant, a fait battre plus fort ton coeur au creux de ta poitrine... l'effleure du bout de mes lèvres ta peau qui frissonne... Ma bouche crée mille passages sur la surface de ton être  que j'aime tant embrasser avec  douceur, prenant soin de n'oublier aucune parcelle de ton corps, venant ensuite inspecter chaque recoin de ma langue tantôt douce, tantôt gourmande avide de toi et de ton parfum si exquis.



Je suis au-dessus de toi, les yeux plantés dans les tiens, dans ce regard on peut y lire toute la tendresse, toute la douceur, toute l'envie, toute l'ivresse et tout l'amour du moment et de ce "Nous" que nous avons bâtit ensemble, que nous faisons avancer, évoluer, mûrir l'amour de jour en jour et de ce qui est devenu notre raison de vivre. Alors que mon coeur cogne fort dans ma poitrine, tu me souris tendrrement. Ô ton sourire ! Dieu seul sait à quel point il sait me faire fondre.  Je n'y résiste plus, je me penche un peu plus sur toi et viens effleure ta joue de mes lèvres chaudes? Elles glissent sur ton visage.


Pendant ce temps, tes mains ont glissés sous mon tee-shirt le long de mon dos, tu caresses ma colonne du bout des doigts ce qui me fais frissonner de plaisir.  Les miennes viennent défaire avec plaisir chaque bouton de ton chemisier  blanc. Une fois tous enlevés, je découvre te peau blanche. Tu n'as pas mis de soutien -gorge ce soir. Tes seins sont gonflés de désir et leurs pointes se hérissent sous le
contact de mes mains. Te voilà torse nue devant moi, qu'est-ce que tu es belle mon amour.
Tu déclanches en moi un désir fou, incontrôlable et fougueux. Je descends sur tes deux collines que je parséme de baisers brûlants. Ta poitrine se gonfle sous mes assauts de langue et ta respiration se fait plus forte, plus rapide.

Tes doigts se perdent dans mes cheveux et tes jambes se frottent aux miennes. Mes mains s'égarent sur ton ventre, le découvrent,  le dessinent, jouant avec ton nombril. Je remonte doucement vers toi, laissant au passage quelques empreintes de mes baisers et viens unir une fois encore nos lèvres brûlantes.

Tes yeux se font gourmands devant mon sexe en érection, ce qui attise mon désir, tandis que mon regard s'embrasse ainsi que mon corps entier, à la vue de ton corps nue. Je sens tes mains monter à l'intérieur de mes cuisses, puis redescendre lentement... D'un seul coup, ta main enserre ma chair et m'arrache un soupir de plaisir. Tes yeux plein de malices sont brillants et pétillent de désir. Ta bouche qui me gobe, ta langue sur mon frein, tu prends tout ce que je t'offre, te redresse en te lèchant les lèvres comme si tu venais de savourer le plus exquis des festins.

Amoureusement , je me place entre tes jambes, et les yeux dans les yeux , je me glisse en toi... Hummm. Je rentre en toi, tes yeux me toisent... Hummm c'est chaud, doux et humide. On soupire de plaisir, et nos bassins se mettent à bouger , ensemble, à la recherche de cette délivrance, amenant les êtres qui s'aiment au Septième Ciel, loin au dessus des nuages, les yeux baignés d'étoiles, le corps frissonnant d'amour et de désir.     Tu as cultivé mon corps je t'aime.

Elle s'apprête à frapper à la porte de ma chambre.
Elle devine des gémissements de plaisir.
Elle pousse très doucement la porte.

Je suis là, dans la pénombre, assise sur le bord de mon lit, le dos soutenu par des coussins.

J'ai relevé ma robe, j'ai écarté les jambes, ainsi. Ma main droite descent doucement le long de mon ventre. Elle atteint ma Vénus, en caresse les lèvres d'un doux mouvement circulaire.
Ainsi...Elle s'approche, sur la pointe des pieds. Elle me parle... Elle s'agenouille entre mes cuisses... Oui, mon aimé... Ainsi... Oh, viens...
Mon bouton ne peut plus attendre ! Mais sans hâte, je t'en conjure ! Ne froise pas la rose...
Laisse le papillon ouvrir ses ailes !  Oui ! ainsi ! Que Dieu me pardonne... C'est meilleur... C'est meilleur encore... Qu'avec... Oh ne m'abandonne pas, ma bien-aimée ! pas maintenant... reste prisonnière.. de mes mains...de mes cuisses...Oui... Je t'en supplie...Ah ! Ah ! Aaah !