LA -BELLE-ITALIENNE
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Vendredi 11 décembre
5
11
/12
/Déc
09:09
J'ai faim de ton corps, de tes lèvres et de ta langue salée sucrée
.Ma bouche rêve de savourer la tienne, de goûter ta peau
Sentir le parfum de ton corps déliceux
Mélangé à la chaleur de ta peau parfaitement assaisonnnée
J'ai faim de ton humeur coquine
De ton rire chaleureux , de ton sourire moqueur
J'ai faim de ton corps si tendre et appétissant
Faim de tes yeux, de ton regard envoûtant
La douceur de ta peau éveille mon appétit
Le contact de ton corps déchire mon coeur brûlant
Brûlant d'une envie irrésistible de te morde, de te consommer !
Ensuite je te bois, je met ton corps en émoi
Je prends tes poignets d'une main et les serres d'un lien.
Je lis dans tes yeux ton envie de me sentir à ta merci
Plus je veux te déguster, plus tu bouges, plus tu languis
Ton regard me convoite, tu deviens prédatrice
Tu es provocatrice, ton sourire m'inspire et provoque ma chaleur
Brutalement je n'en peut plus, j'enlève un à un tes vêtements
J'ai besoin de t'admirer nue, gazelle sauvage
Tu me souris ironiquement
Et tu me dis : bois moi jusqu'à la lie
Fais moi l'amour sans ménagement...
Alors je déguste ce repas gastronomique qu'est ton corps
.Ma bouche rêve de savourer la tienne, de goûter ta peau
Sentir le parfum de ton corps déliceux
Mélangé à la chaleur de ta peau parfaitement assaisonnnée
J'ai faim de ton humeur coquine
De ton rire chaleureux , de ton sourire moqueur
J'ai faim de ton corps si tendre et appétissant
Faim de tes yeux, de ton regard envoûtant
La douceur de ta peau éveille mon appétit
Le contact de ton corps déchire mon coeur brûlant
Brûlant d'une envie irrésistible de te morde, de te consommer !
Ensuite je te bois, je met ton corps en émoi
Je prends tes poignets d'une main et les serres d'un lien.
Je lis dans tes yeux ton envie de me sentir à ta merci
Plus je veux te déguster, plus tu bouges, plus tu languis
Ton regard me convoite, tu deviens prédatrice
Tu es provocatrice, ton sourire m'inspire et provoque ma chaleur
Brutalement je n'en peut plus, j'enlève un à un tes vêtements
J'ai besoin de t'admirer nue, gazelle sauvage
Tu me souris ironiquement
Et tu me dis : bois moi jusqu'à la lie
Fais moi l'amour sans ménagement...
Alors je déguste ce repas gastronomique qu'est ton corps
Mardi 10 novembre
2
10
/11
/Nov
09:44
Une goutte de mon parfum sur ta peau...
Embrasse-moi encore.
Tu me veux mon trèsor...
Laisse mes doigts parcourir ton cou et ton dos...
Laisse-moi te recouvrir de baisers et de caresses...
Tendre étreinte au goût d'ivresse...
Je veux encore un peu plus de ton corps en cadeau.
Je te veux belle et sauvage
Fais moi plaisir je t'en conjure
C'est très puissant, je te sens, je nous sens...
Notre amour est ainsi fait, je veux sentir battre ton coeur dément...
J'ai soif de toi, de ton amour, nos corps enlacés plus près pour toujours
J'ai soif de ta douceur...
Et toi... As-tu soif de Moi ?
Embrasse-moi encore.
Tu me veux mon trèsor...
Laisse mes doigts parcourir ton cou et ton dos...
Laisse-moi te recouvrir de baisers et de caresses...
Tendre étreinte au goût d'ivresse...
Je veux encore un peu plus de ton corps en cadeau.
Je te veux belle et sauvage
Fais moi plaisir je t'en conjure
C'est très puissant, je te sens, je nous sens...
Notre amour est ainsi fait, je veux sentir battre ton coeur dément...
J'ai soif de toi, de ton amour, nos corps enlacés plus près pour toujours
J'ai soif de ta douceur...
Et toi... As-tu soif de Moi ?
Samedi 7 novembre
6
07
/11
/Nov
08:24
Dur comme de l'acier et cependant si doux, si tendre dans ma main, que j'ai envie de le prendre dans ma bouche, fier et conquérant, sûr de son triomphe, il se dresse et réclame son dû, ou bien est-ce moi qui rêve de le lui donner...
Chaud, vibrant, délicat, tellement vivant que j'en tremble de joie, que je n'ose pas aller trop vite, trop fort au début, je le caresse doucemnet, je fais glisser entre deux doigts la peau fine qui recouvre le gland, je le découvre, mont magnifique et lisse, ni luisant et parfait, mon magnifique !
Oh ! alors il m'est impossible de résister... Seule ma langue est capable de lui donner ma sensation intacte, je le lèche doucement, avec application et tendresse, je voudrais qu'il sente dans ce geste tout mon amour, mon admiration, mon adoration de ce qu'il est, lui... un homme.
Et lentement ma main poursuit son va-et-vient, serrée étoitement autour de ce vît colossal qu'elle ne peut bientôt plus contenir tout à fait. Mais je m'entête , sentant intimement , au coeur de ma chair, grandir son désir, monter sa sève.
Infimes petites secousses, comme des mini-décharges électriques, je les adore autant que ce goût âcre et sucré que je goûte déjà un peu au bout de son gland turgescent.
Vendredi 30 octobre
5
30
/10
/Oct
09:24
Mes doigts se perdent dans son écrin. Son breuvage coule. Elle crie sa jouissance à en perdre haleine...
Elle en désire plus. Sa bouche cherche mon intimité. Elle me goûte jusqu'à plus soif. Les deux délicieuses s'accaparent de mon corps. Je peux leur résister. Ai-je l'envie? Quelle question, bien sûr que non ! L'affamée que je suis en réclame, encore et encore.
L'extase m'atteint, je ne contrôle plus rien...
Nos deux langues parcourent ses courbes. Celle de notre invitée, sur son mont de Vénus, par sa langueur, lui arrache des gémissements... Je l'embrasse, la câline. Mes baisers la rendent incandescente. Elle jouit. Une jouissance foudroyante qu'elle vacille.
Nos souffles sont courts... Des étreintes à n'en plus finir. Nos mains, nos langues se croisent, s'entrecroisent, s'entrechoquent. Nos trois corps ne forment plus qu'un.
Un sentiment de bien être intense nous envahi.
Repues, nues, nous nous endormons toutes les trois blotties.
Elle en désire plus. Sa bouche cherche mon intimité. Elle me goûte jusqu'à plus soif. Les deux délicieuses s'accaparent de mon corps. Je peux leur résister. Ai-je l'envie? Quelle question, bien sûr que non ! L'affamée que je suis en réclame, encore et encore.
L'extase m'atteint, je ne contrôle plus rien...
Nos deux langues parcourent ses courbes. Celle de notre invitée, sur son mont de Vénus, par sa langueur, lui arrache des gémissements... Je l'embrasse, la câline. Mes baisers la rendent incandescente. Elle jouit. Une jouissance foudroyante qu'elle vacille.
Nos souffles sont courts... Des étreintes à n'en plus finir. Nos mains, nos langues se croisent, s'entrecroisent, s'entrechoquent. Nos trois corps ne forment plus qu'un.
Un sentiment de bien être intense nous envahi.
Repues, nues, nous nous endormons toutes les trois blotties.
Vendredi 30 octobre
5
30
/10
/Oct
09:06
Lumière tamisée aux couleurs de nos corps...
Tes mains se frôlent aux miennes et j'en veux plus encore... ton regard s'attendrit et me laisse entrevoir une envie.
Je te réponds par un baiser qui te fais sourire, j'aime ces bras si envoutant qui ne cesse de me faire sentir que je suis vivante.
Nos langues dansent sur la musique de cette infinie nuit, pour finir par s'aimer sur un rythme lent, puis par une cadence plus agitée, toujours aussi doux par des gestes si passionnants. Tu m'étreins davantage avec ces mouvements si ensorcelants.
L'aube est là et je te vois déjà partir, tu me rassures par un de tes baisers et me dis tout bas,que tu reviendras...
Tes mains se frôlent aux miennes et j'en veux plus encore... ton regard s'attendrit et me laisse entrevoir une envie.
Je te réponds par un baiser qui te fais sourire, j'aime ces bras si envoutant qui ne cesse de me faire sentir que je suis vivante.
Nos langues dansent sur la musique de cette infinie nuit, pour finir par s'aimer sur un rythme lent, puis par une cadence plus agitée, toujours aussi doux par des gestes si passionnants. Tu m'étreins davantage avec ces mouvements si ensorcelants.
L'aube est là et je te vois déjà partir, tu me rassures par un de tes baisers et me dis tout bas,que tu reviendras...
