LA -BELLE-ITALIENNE
chaleur .... quand tu nous tiens !
Sur la Terre de Feu
Je sais bien qu'il fait froid
Moi, mon pays s'appelle quelqu'un
Respirer la vie
Un instant avec toi
C'est juste ça qui me fait du bien
Couvre mes épaules
D'un manteau de caresses
Et j'oublierai les mortes saisons
Écris dans ma main
Un prénom, une adresse
Et j'aurai plus besoin de maison
Laisse une larme sur ma joue
Une brûlure sur mon cou
Et ton coeur pendu à ma chaîne
Il y a quelque chose d'autre, quelque chose de chaud, qui brûle tout au fond de nos coeurs....
Il fut bientôt nu devant elle.
Elle contemple avec amour les courbes de son corps musclé. Il s'agenouille et leurs chairs se fondent. Ses doigts, doux et taquins, effleurent les seins déjà tendus.
Les mains explorent les trésors que recele son corps, sa langue embrasse sa poitrine. Il la sent se cambrer tandis qu'elle se serre davantage encore contre lui, pour mieux s'offrir à ses baisers. Elle halete. Sa bouche descend, encore plus bas, traçant un chemin de feu sur son ventre frémissant...
Deux mains fermes écartent ses cuisses tremblantes tandis qu'il presse ses lèvres dans la douce moiteur. Elle ploie sous le désir et laisse échapper un léger cri. Il insiste et elle gémit en se tordant de plaisir. Enfin, il la couvre de son corps et l'emplit de sa semence.
Elle aurait voulu le garder toujours en elle. Elle enveloppe ses jambes autour de ses fesses. Les reste n'a plus d'importance. Ils ne forment qu'un être à jamais uni.
Prend-moi
Parcours mes lèvres de ta langue.
Que ton souffle me rafraichi comme une douce brise
Goûte à ma chair et mes seins
Je suis mouillée comme la reinette au bord de l'étang.
J'attends impatiemment d'être prise
Enivres-toi de ce parfum de corolle effeuillée
Car sous tes mains je gémis de volupté
Mon entre-jambe s'ouvre pour te laisser entrer
Dans cet antre sacré si longtemps protégé
Par le voile de mon pucelage qui m'a gardé si sage
Mais moi, je te veux sauvage
Ardent, vaillant, tel un conquérant
Je te veux piquant et de tes coups brûlant
Tu m'arracheras de tendres soupirs
Alors que j'atteindrai le doux sonnet du plaisir
Sombrant dans une douce démence
Dans l'attente d'une nouvelle semence