la-belle-italienne

 
                                                          
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la-belle-italienne        

Lundi 1 décembre 1 01 /12 /Déc 08:51

 

 

Comme une ville qui s'allume

Et que le vent vient embrasser,

Tout mon coeur brûle et se consume,

J'ai soif, oh ! j'ai soif d'un baiser.

Baiser multiplié que l'homme

Ne pourra jamais épuiser,

 0 toi, que tout mon être nomme,

J'ai soif , oui d'un baiser.

Baiser d'amour qui régne et sonne

Au coeur battant à se briser,

Qu'il se refuse ou qu'il donne

Je veux mourir de ce baiser.

Baiser de la bouche et des lèvres

 Où notre amour vient se poser,

Pleins de délices et de fièvres,

Ah ! J'ai soir d'un baiser !

Fruit doux où la lèvre s'amuse,

Beau fruit qui rit de s'écraser,

Qu'il se donne ou qu'il se refuse,

Je veux vivre pour ce baiser.

 

Par candy - Publié dans : sensuel
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Mardi 18 novembre 2 18 /11 /Nov 11:42

 

L'heure sonna minuit,

Je suis seule allongée sur mon lit, de sa puissance me pénètre la nuit,
et soudain par ton désir et le sommeil, je suis entre le feu et l'eau, jamais je n'ai connu de plaisir pareil, ni mon coprs de tels assauts.
Soigneusement je t'imagine comme vrai. Et miraculeusement je te sens tous près.
Ton corps robuste m'enveloppe. Tes mains lisses me touchent. En moi renaissent les pulsions mortes. Et, sur ton buste, je me couche.
 Ombre errante dans la nuit. A la recherche du désir inouï avec appétence et envie. Sur mon corps tu atterris. Tu obéis à mes désirs les plus secrets. Tu m'aimes et je suis toute extase. Tu te fonds en moi avec volupté. Et des baisers de braise sur mon visage chargés d'électriques pulsions.Tes mains caressent mon corps assoiffé Je te désire avec obtination et de toi je ne suis point rassasié.
Tout entière je fonds en toi et d'amour je te nourris. Sensuelle je me répands en toi et entre mes seins tu te réfugies. De ta bouche à tes pieds, je fais un long voyage et mon corps tout inquiet en toi fait naufrage. Mon désir devient le plus acharné,  le plus désordonné, enivré et entêté, le plus assoiffé, avide et affamé. Noyé dans le plaisir immense et avec toute mon innocence,  je parle le langage de la jouissance. Mes paroles enfin se donnent un sens et mes gestes t'appellent avec insistance et encore une autre fois avec innocence. Et soudain me revoilà mon corps denné de tous cela.
Sur mon lit encore une autre fois mais cette fois-ci sans toi
Par candy - Publié dans : sensuel
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Mardi 28 octobre 2 28 /10 /Oct 06:51

La tentation de ton corps aux étapes de nos tentations...
L'acide rose de tes lèvres sur mes lèvres...
Offrir mon dos aux griffes de tes caresses, offrir ton dos aux caresses de mes griffes... 
Quand tu m'intimides d'impatience sauvages et ravageuses...
Filer tes bas en glissant entre tes bras...
Griffer le regard de tes mains sur ma tentation aux coeurs de ta passion, quand tu l'as tendu vers toi triomphante entre tes mains...
Me laisser glisser le long de ton gouffre la nuit...
La fièvre de tes mains dans nos cheveux quand tu cries...
Fondre d'amour aux creux de tes lèvres en sueur...
Deux silences l'un somptueux l'autre provocant...
La volupté de ta vague, quand elle m'emporte loin du rivage...
Ton pluriel féminin de ton sexe de femme, la langue ouverte aux plaisirs offerts de tes jambes entrouvertes sur le monde de nos désirs...
Poser ma main sur ton sein et le sentir frémir de plaisirs insoupçonnés...
Ma main par ta main guidée dans tes strings  de dentelles rouges et  noires...
Caresser tes hanches d'un sperme d'étoiles gourmande à tes lèvres d'abondance...
Sentir tes doigts presser mes doigts dans tou entre de sueurs lunes parfums plumes...
Poursuivre ce va et vient torride dans la chaleur douce et profonde de ton ventre...
Achever ton cri quand tu pousses plus loin les risques de nos étreintes...
Fondre d'amour aux creux de tes petites lèvres en sueur de rosées...
Passer mes jambes autour de ton cou pour embrasser ta volonté d'aimer quand tu glisses tes jambes autour de mon cou...

Désir c'est aussi pleurer de Bonheur...



Par candy - Publié dans : sensuel
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Mardi 21 octobre 2 21 /10 /Oct 13:00
Ils avaient quitté les peignoirs de laine dans lesquels ils étaient remontés du bain. Je fis de même pour ma robe, mais je gardai ma tunique car nous étions au printemps et il faisait encore frais.


Je vois que tu as froid, petite, me dit-il. Plus pour longtemps ! Nous allons te réchauffer.
Et vous allez aussi m'instruire, hommes ! dis-je. Je ne sais si je dois en rougir ou m'en glorifier, je n'ai pas encore sucé d'homme. Tandis qu'un autre comblait mon cul ! Je demande donc votre indulgence...


Il me fit placer à quatre pattes sur le lit bas. De la sorte, ma bouche se trouvait juste à la hauteur du ventre de son compagnon.
C'est ainsi que nous commencerons, petite, dit-il en se plaçant derrière moi. Tu te tordras amoureusement pendant que je l'occuperais, cela augmentera ma jouissance et la tienne.
Je le ferais, mais je me consume dans l'attente de vos belles queues, mes hommes. Ne tardez plus trop.
Ils rirent tous deux.


Il commençait à bander, et promena de la main la tête de son engin comtre mes lèvres, comme pour m'obliger à la saisie de la bouche. J'y parvins sans peine, et je la fis entrer d'un coup de langue en prenant bien garde de ne pas la mordre. Puis je commençais à faire aller et venir ma tête.


C'est bien, petite, suce-t-elle comme il faut lui demanda-til ?
Admirablement, vois comme elle fait bander cet engin !


En le sentant me quitter, j'avais poussé un grognement de dépit, et je levai une main pour tenter  de le remettre dans ma bouche.
Et elle aime ça, il ne  faut pas lui en promettre. Veux-tu l'essayer, tu me céderas ce petit cul dont tu dis tant de bien, je te laisse le choix pour la jouissance.


Je grognai encore tandis qu'ils changeaient : Cessez donc vous-mêmes de promettre mes hommes ! Je vais décider pour vous, puisque vous en êtes incapables.Toi tu m'emplis la bouche, et toi le cul. Nous verrons aprés.


C'est ainsi que j'eus pour la première fois deux hommes en même temps...


Je me démenais comme une folle, remuant en même temps la tête et les fesses. Quand je me sentis prête à défaillir, je m'arrêtais un instant pour libérer ma bouche.


Ils jouirent tous deux, la décharge de l'un deux était énorme : elle m'emplit la bouche et le gossier dès le premier jet, le reste me coula en abondance le long du menton. Mais je ne laissais rien perdre du second jet ; tandis que son compagnon jouissait encore en moi avec force, en me donnant un violent plaisir. Je me tordais si bien en le sentant prêt à décharger, qu'il criait :
Oui, va, ma pouliche, bouge -le encore, ton joli cul ! ah ! commme elle me serre la queue ! Quelle bague elle a ! Oh! Oui ! Tiens, mignonne, tiens ! Il en veut le glouton ? Qu'il en ait ! Encore ce coup-là ! Et encore celui-ci !

J'étais épuisée...
Par candy - Publié dans : torride
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Mardi 7 octobre 2 07 /10 /Oct 09:47
Quel étrange Labyrinthe est donc le coeur de l'homme, mon aimé ?

Jouit-il d'un cul ? Il lui faut une bouche. L'a-t-il obtenue ? C'est d'un con qu'il voulait.
A-t-il obtenu les faveurs d'une brune vive et maigre, longtemps poursuivie ? C'est d'une blonde dolente et bien en chair qu'il désire alors. Recherche-t-il les jeunes garçons ? Il tourne de l'un à l'autre comme une toupie d'Egypte, pour tomber en fin de compte dans les bras d'un mignon qui pourrait être son père !

Et nous sommes pires que vous. Quand tu aurais deux membres, je demanderais aux dieux de t'en donner un troisième, pour ma bouche. Tu sais qu'on nomme une Trivia, dans les salons ou dans les lupanars, la femme qui reçoit ainsi trois amants en même temps.
Chevauchant l'une à la manière habituelle, elle est prise entre les fesses par un second, qui s'installe comme il peut entre les jambes du premier ; et un troisièpe, debout, lui enfourne sa queue dans le gossier , si bien qu'on se demande si ces trois engins ne vons pas se rencontrer dans son estomac pour la faire éclater d'indigestion.

Mais non ! Si la fureur de Vénus la tient, elle ne se contentera pas de ces trois-là : il faudra que deux autres combattants, l'un à sa gauche, l'autre à sa droite, occupent ses mains. Elle les branle en silence, et le mpment venu dirige leur plaisir vers son visage, de sorte qu'emplie de trois décharges, elle est couverte de deux autres.
Par candy - Publié dans : torride
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