LA -BELLE-ITALIENNE
déshabille-moi, ôtes le voile de ma peau de tes doigts Effleure-moi, caresse-moi de tes lèvres, de ta voix Immerge moi de tes pourvoirs, ceux qui font frissonner mon corps Dénude moi, espionne mes courbes, sous ma parrure de soie Respire ma peau, fais moi frémir sous les gestes chauds Que ton regard me dévisage et ta bouche salive comme pour le mielleux Je suis ta chose, celle que tu dessines sur la toile, Où les couleurs gémissesnt, sur les pastels enivrants Tu es le peintre de mon corps,où les accords me mettent à nue.
(texte de City Perle)
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Il rentre dans la chambre, elle l'attend, assise sur ses talons, toute nue, au bord du lit. Elle entoure ses hanches de ses bras et prend sa verge dans sa bouche. A peine a-t-elle sucé quelques secondes que la hampe gonfle et se dresse.
Elle la fait aller entre ses lèvres jusqu'à soit très dure, elle la lèche sur toute la longueur, puis aspire doucement la peau satinée des testicules, les soulève dans ses mains....
Appliquée à délivrer l'organe de sa semence, à la vider le plus totalement possible, elle avale à lentes gorgées la substance savoureuse qu'elle a réussi à tirer du fond de lui.
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