LA -BELLE-ITALIENNE
Elle se caresse, d'abord comme toujours en excitant les pointes de ses seins, Ttoutes les deux à la fois, faisant tourner légérement le bout de ses doigts Autour des auréoles, puis passant au-dessous des globes, Qui sont pour elle des organes de plaisir exercés et actifs, les soupesants, Les pressants avec douceur jusqu'à ce que son clitoris réclame sa part d'attention. Ses mains se promenent sur la partie la plus sensible du haut de ses cuisses, Sur les lèvres de sa vulve, sur son clitoris enfin, Qui va si vite la faire jouir.
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Elle a trouvé le bon, elle croit et elle a déjà fait pris sa résolution.
Ils le feront ensemble, leur première fois, en espérant qu’ils connaîtront, leur plus belle joie. Ils ont eu beaucoup de plaisir
cette nuit, où ils étaient seuls, allongé dans un lit. Elle partit, les larmes aux yeux en se jurant que dorénavant, qu’elle ne trouverait plus jamais la joie et le plaisir avec une personne.
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Laisse moi en tête à tête avec ton sexe pendant que tu médites Nous ferons l'amour, lui et moi. Ne nous regarde pas ; j'aime ton sexe il est si beau. Je voudrais pouvoir le monter partout, le brandir, le faire admirer ! J'ai tout le temps envie de le sucer. Laper son lait à en prerdre le souffle. Je n'ai jamais assez de sa douceur...
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déshabille-moi, ôtes le voile de ma peau de tes doigts Effleure-moi, caresse-moi de tes lèvres, de ta voix Immerge moi de tes pourvoirs, ceux qui font frissonner mon corps Dénude moi, espionne mes courbes, sous ma parrure de soie Respire ma peau, fais moi frémir sous les gestes chauds Que ton regard me dévisage et ta bouche salive comme pour le mielleux Je suis ta chose, celle que tu dessines sur la toile, Où les couleurs gémissesnt, sur les pastels enivrants Tu es le peintre de mon corps,où les accords me mettent à nue.
(texte de City Perle)
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