la-belle-italienne

 

 

Ne parles pas, écoute, ne dis rien
Ma bouche aussi se tait et laisse parler mes mains
Elles vont te dirent ce qu’il y a de meilleur
Elles pourraient le faire pendant des heures

Pour partager toute notre tendresse

En plus du regard il ya les caresses

Sur ton corps ardemment désiré

Mes mains, mes lèvres vont s’activées.

Sur ton dos lentement elles vont s’égarer

La douceur de ta peau va les enivrer

De la base du coup jusqu’au creux de tes reins

Légèrement mon doigt cherche son chemin

Que semble doux cette caresse

Qui n’est encore qu’une promesse

Ta voix se trouble, ta peau frémit

De plaisir, tu te tords sur mon lit

Sur tes fesses maintenant mon regard s’attarde

Aux portes du paradis, éblouis, amoureux, je regarde

Mes mains, de mes pensées sont le prolongement

Sur tes sublimes rondeurs elles s’aventurent doucement

Mes doigts plus osés s’immiscent dans le vallon.

Entre tes fesses ils me régalent !! Que c’est bon !!

Tout ceci est trop bon pour en rester là,

Déjà un aimant les attire vers le bas

Grace à tes cuisses légèrement écartées

Je me fraye un passage dans ton intimité

A ce sexe, que sans retenues tu me donnes

Je goûte le grand bonheur d’être un homme.

Dans ton sexe je suis bien

De moi, je veux qu’il soit plein

Il est doux, souple, humide et chaud

J’y suis comme chez moi aussitôt

Pourtant, je ne suis pas satisfait

Je veux aller de l’autre coté

Sur le dos tu te tournes lascivement

Des merveilles encore je découvre maintenant.

Sans que ma main ne quitte ta fleur

Mes lèvres se rapprochent tendrement de ton cœur

Ma bouche s’approprie tes seins

Les aspire, les caresse comme des mains.

Et, comme mystérieusement appelées

Par ton ventre si tendre, si doux aux baisers

Mes lèvres commencent à descendre

Partout, elles posent des baisers tendres

Maintenant ma bouche vient se poser sur ton sexe

Les lèvres de ma bouche le dévorent sans complexe

Ton bouton du bonheur par ma langue excité

T’envoie sans cesse des vagues de voluptés

J’adore le gout de ta fleur mouillée

C’est comme des perles de rosée

Aux quelles ma soif de toi je viens satisfaire

Je m’y abreuve, quel bonheur de te plaire

Ton corps ondule de plus en plus violemment

Tu m’appelles, tu me veux, que je sois ton amant

Le désir de te prendre et de plus en plus fort

Pourtant, je voudrais te caresser encore

Mais, la douceur des caresses va bientôt laisser place

A nos deux corps fous qui éperdument s’enlacent

Mes mains partout sur ton corps vont s’acharner

Et nos sexes au comble du bonheur vont fusionner.

Sur ton corps je veux me jeter

Ta bouche avec ma bouche je veux dévorer

Maintenant, avec la totalité de mon être

Dans ton corps, dans ton sexe, il faut que je pénètre.

Pour toi, pour moi, ma princesse

Fini le temps des promesses

Enfin ! Enfin ! Toi et moi dans un même éblouissement

Enfin ! Nous nous aimons passionnément……

(texte de Dam chamallow)